La «Next gen» est peuplée de joueurs pouvant prétendre au top, mais ils sont bien plus nombreux que le «Big Four» des 2010s. À peu près une dizaine à chances égales – même si certains comme Zverev ou Thiem – se démarquent un peu. Mais on n’est pas l’abri de belles surprises de la part d’outsiders un peu plus discrets, à l’instar de Karen Khachanov, Hyeon Chung ou Andrey Rublev, qui poussent dans l’ombre.

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