Fernando Verdasco n’est pas un court Cubain ou mais un petit Espagnol! Lorsqu’il est au nirvana il fracasse tout, avec toutes les excuses. Il est poli, il vient comme il est, mais dans une plaine il marque son territoire avec des coupures de papier dans une boîte en forme de coeur (ndlr: ok d’accord ce texte codé ne veut rien dire… à moins que comme moi vous fassiez partie de celle et ceux qui à la toute fin des 80’s ont accueilli en tant que génération X l’arrivée de Nirvana – et de quelques rares autres tels les Pixies ou Sonic Youth – comme une délivrance par rapport à toutes les merdes pop que l’industrie voulait nous faire ingurgiter!) Pour les incultes ou les trop jeunes: une piqûre de rappel de ce qu’était Nirvana

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