Caroline Garcia
Joueuse de tennis (1993 – )
«Les saisons de tennis sont tellement longues, tu as peut‐être moins de temps que dans une vie plus normale pour grandir en tant que femme»
Maria Sakkari
Joueuse de tennis (1995 – )
S’adressant à son coach au changement de côté
« Bordel de merde, comment je peux jouer sur la ligne ? Tu crois que j’ai une Playstation quand je joue et que je peux jouer sur la ligne ? Putain!»
Stefanos Tsitsipas
Joueur de tennis (1998 – )
«J’ai juste besoin de rester vivant autant que possible. J’ai besoin d’être dans l’instant présent, j’ai besoin de ralentir le temps. C’est quelque chose qui me trotte dans la tête. Si je suis capable de ralentir le temps, alors je peux voir, prévoir et exécuter. Je suppose que c’est ce que l’adrénaline vous procure. Ça fait que tout va tellement loin et que tout s’enchaîne sans qu’on y pense parfois»
Gilles Simon
Joueur de tennis (1946 – )
«C’est un sport qui, quel que soit le niveau, rend fou. Oui le tennis rend con. Je le signe en bas de la feuille. Plein de gens adorables dans la vie deviennent débiles sur un court car cela génère tellement de frustration»
Rafael Nadal
Joueur de tennis (1986 – )
«Quand on vieillit, on sent mieux la balle que quand on est plus jeune. Vous n’avez pas besoin d’autant de matches et d’autant de préparation, mais la préparation doit être bonne. Lorsque vous savez que vous avez relevé ces défis dans le passé, il est moins difficile de le faire à nouveau»
Iga Swiatek
Joueuse de tennis (2001 – )
«Je suis juste moi‐même, authentique, et je vois que ça marche, parce que les gens apprécient mon honnêteté, ils savent que je suis une personne vraie. Je ne cherche pas à être une personne différente, je n’ai pas de solution magique pour cela. Il y a peut‐être des gens qui peuvent s’identifier à moi parce qu’ils sont aussi introvertis. Tout le monde n’est pas extraverti, il y a une place pour tout le monde»
Marin Cilic
Joueur de tennis (1988 – )
«Je pense qu’il y a une légère différence lors des compétitions. Mentalement, il y a une différence quand on participe à un Grand Chelem, surtout par rapport aux autres tournois. Quand on aborde un match en cinq sets, il faut être prêt mentalement dès le premier point. Ce que nous avons vu ces dernières années avec Federer, Nadal et Djokovic, c’est que ces gars ont joué avec une mentalité de tueur et avec une attitude sans précédent. Ils exigent de vous que vous soyez au plus haut niveau tout au long du match, et c’est ce qui, à mon avis, leur donne le plus grand avantage»
