Benoît Paire
Joueur de tennis (1989 – )
en plein match contre Tommy Haas

«Le mec est complètement nul ! Je suis extra-mauvais. J’ai juste à jouer 2 secondes, je pense que je gagne 6-2, 6-2».

Gunter Bresnik
Coach (1961 – )
Interviewé sur la possible fatigue de fin de saison chez son protégé Dominic Thiem

Gunter Bresnik declaration
«Conneries ! Ce n’est pas à vous que je dis ça, mais à tous ces joueurs qui répètent ça à longueur de journée et finissent par se convaincre les uns les autres qu’ils sont fatigués. Il veulent connaître la fatigue ? Qu’ils aillent bosser sur les chantiers ! Ces gars-là, oui, eux, ils ont le droit d’être fatigués. Les joueurs qui dorment dans des cinq étoiles, mangent la meilleure nourriture et s’entraînent deux à trois heures par jour : à chaque fois que j’entends ça, ça me met hors de moi…»

Sloane Stephens
Joueuse de tennis (1993 – )
Quand on lui demande à l’interview de l’US Open 2017 si elle aimerait gagner un autre Grand Chelem

Sloane Stephens interview
«Bien sûr ! Vous avez vu le chèque que la femme m’a remis à la fin (rires) ? Si ça, ça ne vous donne pas envie, je ne sais pas ce qu’il vous faut!»

Sloane Stephens
Joueuse de tennis (1993 – )
à propos de sa première remise de trophée à l’US Open 2017

Sloane Stephens interview
«Je pensais à toutes les photos des gagnantes dans le couloir. Elles ont toutes leur plus belle image. Et moi, je pensais à quoi j’allais ressembler avec la transpiration sur mes seins (rires)!»

Fabio Fognini
Joueur de tennis (1987 – )

«Je peux vous assurer que dans le Top 100 personne ne se dope. Je parle seulement du Top 100 parce que je connais les joueurs, je joue contre eux. De toute façon, on nous teste 20 fois par an, il est impossible de tricher»

Roger Federer
Joueur de tennis (1981 – )

«Les jours de repos entre deux matches à Wimbledon, les enfants savent que je jouerai peut-être un peu moins que d’habitude et personne ne me fera une remarque parce que je reste dans le canapé devant la télé»

Benoît Paire
Joueur de tennis (1989 – )

«Bon, j’ai conscience que ce n’est pas la première fois que je parle de changement et j’ai eu des rechutes, pas plus tard qu’à Halle il y a deux semaines. Il ne suffit pas de parler, il faut que les actes suivent. J’ai été un peu bête, stupide par moments dans ma façon de penser et de voir le tennis. Maintenant je suis prêt à voir les choses d’une manière différente. A être un homme, en quelque sorte»